En Alsace, les études sur les paysages agraires, dans l’ensemble anciennes, ont été axées sur la plaine rhénane. Elles ont pour l’essentiel concerné l’analyse de structures comme le laniérage des champs ouverts et les supposées centuriations romaines et celle de modelés qui y sont associés : les ackerberge (crêtes de labour), plus accessoirement les champs bombés. Le versant alsacien des Vosges et les collines sous-vosgiennes ont été presque complètement oubliées, à l’exception de citations ponctuelles de rideaux de culture ou des terrasses viticoles.