Pecunia nervus belli
Résumé
Al día siguiente del 25 de mayo de 1810, se dicta la primera leva ""rigurosa"" de los soldados en el Río de la Plata, desde ese momento, todo el esfuerzo de la Junta y de los sucesivos gobiernos revolucionarios fue orientado hacia la guerra, la guerra y la guerra. Fuera ésta patriótica, civil, de fronteras" o exterior, la guerra acompañó la construcción de la nación argentina durante casi todo el siglo.
El trabajo quiere mostrar de que modo se enfrentaron lo ingentes gastos que la guerra exigía cotidianamente.
Table ronde I - Le Rio de la Plata: militarisation, crises sociales et guerre révolutionnaire, 1806-1852
Le colloque "Influences et confluences : La Révolution française/ La Révolution de Mai" développe les points suivants :
1) La guerre révolutionnaire et ses conséquences à travers l'étude de ce qui constitua pour les troupes le "nerf de la guerre", et les luttes ;
2) L'état de la société : ses populations, en tenant compte des populations habituellement marginalisées (esclaves, indiens, etc.) ;
3) La transition entre histoire et mémoire, thème central de la conférence plénière de L.A. Romero : L'Argentine dans le miroir des Centenaires ;
4) Retour en arrière sur l'influence intellectuelle, à travers l'étude de la culture politique dans le Rio de la Plata au début du XIXe siècle, dans la presse ("La Gaceta de Buenos-Ayres") ainsi que des relations avec cette Espagne des Lumières qui vit fuir de ses membres (le cas du grammairien Senillosa) ;
5) En clôture, le regard sur ce passé/présent : Commémorer/montrer la Révolution de Mai, à travers des évocations de la Place de Mai, lieu emblématique du/des pouvoirs, l'Hymne national et son parcours, ainsi que les regards du cinéma sur les héros de l'Indépendance, pour voir enfin comment s'organise ce "chantier du présent : naissance d'un type et d'une typologie nationale comme fondements de l'identité nationale".
Responsables du colloque :
EHESS : Sophie Fischer, Juan Carlos Garavaglia
CNRS/EHESS : Sylvia Sigal
Université de Paris X Nanterre : Carmen Bernand
Avec le soutien de l'Ambassade de la République Argentine en France et de la Délégation Permanente de la République Argentine auprès de l'UNESCO.